Jeté à la poubelle
La bonne science contre la mauvaise science
Cliquez sur l'image pour voir la vidéo
Ce clip vidéo proposé par le Dr Andre Menache est destiné à aider les personnes qui souhaitent se familiariser avec certains des arguments scientifiques utilisés contre l'expérimentation animale. Cette présentation reflète 30 ans de sa propre quête de réponses face au cliché "votre chien ou votre enfant".
********
Cette année pour le Téléthon 2009 donnons à ceux qui n'exploitent pas des êtres sensibles.
Donnons à ceux qui pratiquent une science responsable avec des méthodes de recherche modernes, fiables et non cruelles. Cette année ayons encore plus de coeur, faisons un don aux chercheurs qui ne torturent pas les animaux.
Envoyez vos dons ici :
*
http://www.animalexperiments.ch/
*
http://www.proanima.fr/
*
http://www.antidote-europe.org/
Téléthon 2009
Chaque décembre des millions d'euros sont donnés au Téléthon. Une grande portion de ces dons est investie dans les projets de l'expérimentation animale pour la "recherche" sur les maladies génétiques. Résultat : En dépit - ou justement à cause - des intensives recherches sur les animaux, soutenues au cours des dernières décennies avec d'énormes moyens, et malgré de nombreuses annonces de succès par les expérimentateurs, pas une seule maladie génétique n'est guérissable sur la base des expériences sur les animaux. A cause des différences fondamentales entre les espèces et leurs métabolismes, les expériences sur les animaux ne permettent pas de déductions utiles et fiables pour les humains. En outre, une "maladie" induite artificiellement et de force à un animal n'est pas comparable à une maladie génétique qui survient naturellement et spontanément chez un humain. En fait, la fixation sur l'expérimentation animale inutile et non fiable garantit que les maladies génétiques restent incurables. Nous avons besoin d'une nouvelle génération de chercheurs qui renoncent aux expériences sur les animaux et qui se concentrent sur une médecine véritablement humaine. Afin de réaliser de vrais progrès dans le soulagement, la guérison et la prévention des maladies graves, les chercheurs doivent se concentrer sur les méthodes utiles et fiables qui s'appliquent directement aux humains.
Dr méd. Dr phil.Christopher Anderegg,
http://www.animalexperiments.ch/
"Je ne suis pas qu’une scientifique en comportement animal, je suis également une biochimiste moléculaire. J’étudie les fonctions de l’ADN au sein de nos cellules. L’ADN fait de nous ce que nous sommes. Notre ADN n’est pas le même que celui d’une souris ou d’un chat. Nous sommes tous différents. Nous partageons 99 % de notre ADN avec les chimpanzés, qui sont nos plus proches parents. Pourtant, ces derniers ne peuvent attraper notre malaria, notre VIH-SIDA ou notre hépatite B. Et certaines personnes pensent que les animaux sont le modèle idéal pour étudier les maladies humaines. Toutes les recherches devraient être faites espèce par espèce. On ne peut extrapoler sans danger les données obtenues d’une espèce sur une autre espèce. La vivisection est une fraude scientifique."
Nous possédons la technologie qui nous permet de développer des alternatives à l’expérimentation animale. Nous en avons déjà développé certaines, telles que l’utilisation des leucocytes humains pour détecter des substances causant fièvres et autres réactions. Ces alternatives sont moins dangereuses, plus fiables, plus reproductibles et en fait spécifiques à l’espèce humaine. En utilisant ces alternatives et en en développant d’autres, nous créons un système de test moins dangereux qui rendra la médecine et la science plus fiables pour l’humain. Au 21ème siècle, nous devrions nous efforcer en premier lieu de rendre ce monde meilleur pour tous en développant une science avec conscience et empreinte de compassion.
Colleen McDuling
***************************
Voici une liste malheureusement non exhaustive des médicaments prouvés sans danger, selon les tests de toxicités effectués sur animaux (sur différentes espèces et sur plusieurs années), mais se révélant hautement toxiques pour les humains :
Flosint : (arthrite), mortel pour les humains (8 morts), tolérance chez les rats, singes et chiens testés en laboratoire.
Zelmide : (antidépresseur) sévères problèmes neurologiques pour les humains, aucun incident chez les rats et chiens testés en laboratoire.
Clioquinol : (anti-diarrhéique) paralysie et cécité pour les humains, sans danger pour les rats, chiens et lapins testés en laboratoire.
Eraldin : (cœur) : mortel ou (et) cécité pour les humains, selon les scientifiques : "Aucun fâcheux effet sur les animaux de laboratoires lors des études de toxicité."
Opren : (arthrite) mortel pour les humains (61), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.
Zomax : (arthrite) mortel chez les humains (14), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.
Nomifensine : (antidépresseur) mortel pour les humains (sévère défaillance rénale), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.
Fialuridine : (antiviral) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.
Isoprotérénol : (asthme) mortel pour les humains (3500 au RU), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.
Selacrine : (diurétique) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.
Domperidone : (nausée, vomissements), provoque chez les humains un rythme cardiaque irrégulier. Les scientifiques étaient incapables de reproduire cet effet sur des chiens même avec une dose de 70 fois la normale.
Mitoxantrone : (cancer) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Il fut pourtant largement testé sur des chiens, qui n’ont jamais manifesté cet effet.
Carbenoxalone : (ulcères gastriques) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Après que les scientifiques ont su ce qu’il avait fait aux gens, ils ont continué à le tester sur des rats, souris, singes, des lapins, sans jamais pouvoir reproduire le même effet.
Perhexiline : (cœur) provoque une défaillance du foie, sans danger pour les animaux testés en laboratoire. Même quand ils savaient qu’ils cherchaient un type particulier de défaillance du foie, ils ne pouvaient pas le provoquer sur des animaux.
Surgam : (arthrite) provoque des ulcères d’estomac chez les humains, aucun incident chez les animaux testés en laboratoire. Les ulcères sont un effet secondaire commun de beaucoup de médicaments pour soulager l’arthrite. A la mise sur le marché, les scientifiques avaient déclaré que cette fois-ci le médicamentent ne pouvait causer des ulcères, tous les tests (sur animaux) avaient été faits pour s’en prévenir.
Suprofen : (arthrite) provoque une toxicité rénale pour les humains. Avant sa mise sur le marché, les chercheurs avaient commenté les essais du produit sur animaux comme :"... Excellent profil de sécurité. Aucun effet cardiaque, rénal, ou SNC (système nerveux central) rencontré sur les différentes espèces."
Methysergide : (maux de tête) provoque des lésions au niveau du cœur et des reins. Les scientifiques ont été incapables de reproduire ces effets sur les animaux.
Clindamycin : (antibiotique) provoque des lésions au niveau de l’intestin. Il a été testé sur des rats et des chiens chaque jour pendant un an. Ils tolérèrent des doses 10 fois plus grandes que celles qui furent prescrites pour les humains.
Linomide : (sclérose en plaques) provoque des crises cardiaques pour les humains, les expériences animales n’avaient pas prédit cela.
Pemoline : (hyperactivité) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.
Eldepryl : (Parkinson) provoque de l’hypertension pour les humains, cet effet secondaire n’avait pas été vu chez les animaux.
Rezulin : (diabètes) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.
Amrinone : (cœur) provoque une thrombocitopénie chez les humains, c’est-à-dire un manque de cellules de sang type qui est nécessaires à la coagulation. Les expériences animales n’avaient pas prédit cela.
Méthoxyflurane : (anesthésique) provoque une toxicité rénale aiguë. Les expériences animales n’ont pas prévu la toxicité du produit sur le système rénal.
Staltor, Ananxyl, Orabilex, Métaqualone, Chloramphénicol, Stilboestrol, Flamanil, Ponderax, Primodos, Aménorone fort, Bendectin, Debendox, Préludine, Maxiton, Nembutal, Pronap, Plaxin, Phénacétine, Amydopyrine, Marzine, Réserpine, Phénindione, Méthotrexate, Uréthane, Mitotane, Cyclophosphamide, Isoniazide, Iproniazide, Kanamycine, Bismuth, Clioquinol, ...
La liste de médicaments passant haut la main les prétendus tests de sécurité et toxicité sur animaux qui provoquèrent paralysies, cancers, cécités, troubles cérébraux, insuffisances rénales, troubles hépatiques, ... Sur des patients humains, s’allongera tant que la vivisection continuera. Avant la sortie sur le marché d’un nouveau médicament, des études sont conduites, pendant près de 10 ans, sur des dizaines de milliers d’animaux, de toutes espèces, sous le prétexte fallacieux qu’ils aident la santé humaine et animale (sic !)
Si un médicament doit être retiré du marché (nocif aux humains) d’autres animaux de laboratoire sont encore torturés pour "comprendre" pourquoi le médicament incriminé fut toxique à l’espèce humaine. Lorsqu’un médicament est suspecté nocif, il n’est pas immédiatement retiré du commerce car les laboratoires traînent les pieds en mettant en avant le fait qu’il a été prouvé inoffensif sur les animaux ("tests de sécurité" et "toxicité"). Par exemple, il fallut attendre 18 ans pour retirer le Phenphormin (diabète) alors qu’une estimation de 1000 patients mourraient chaque année d’effets secondaires. Sans compter, que les médicaments retirés du marché occidental sont souvent toujours disponibles dans les pays du Tiers Monde ou que d’un pays à l’autre, le produit chimique ou molécule change de nom (exemple avec les scandales du Duogynom ou Clioquinol).
Quand ce charlatanisme s’arrêtera-il ? Au lieu de reconnaître une bonne fois pour toutes que le modèle animal n’est pas fiable et dangereux pour la santé humaine, les chercheurs reçoivent encore et toujours plus de subventions pour continuer les expérimentations animales. La vérité est que la vivisection sert de couverture juridique en cas ou les familles de victimes voudraient assigner les fabricants en justice. Les juges ne condamnent pratiquement jamais les fabricants grâce à ces prétendus "tests de sécurité" conduits sur les animaux. À propos du scandale du Clioquinol, qui provoqua pour le seul Japon une estimation de 1.000 morts et 30.000 handicapés, le Dr André Passebecq de Vence écrivit : "Les expérimentations sur animaux avaient bien été réalisées, mais que veulent-elles dire ? Comme d’habitude rien ou presque, lorsque les résultats sont transportés au niveau de l’homme.".
Source :"Sacred cows and golden geese, the human cost of experiments on animals" des Docteurs C.R et J.S Greek."Expérimentation animale : honte et échecs de la médecine" d’Hans Ruesch